page mise en ligne le 14/1/2017
mise à jour le 24/3/2020, ajout de photos
mise à jour le 24/3/2020, ajout de photos
mise à jour le 6/11/2021; ajout d'Etienne de Drie Vlaemsche Geuzen ;-)
à la Ferme Nord de Zuydcoote
Drie Vlaemsche Geuzen :
Bertrand Buirette, violon
Didier Buirette, cornemuse, flûte
Guy Vandeneeckhoutte, accordéon diatonique
Etienne Dubron, violon
Animation et bal folk à Bergues
La Bistouille (2 musiciens de De Kreupelaer et les musiciens de Drie Vlaemsche)
et Katepouch
La fête du château d'Esnes le 1er mai 1976
Brinqueballe (deviendra Estaminet Folk) :
Bernard, dit Ben Kaczmareck, accordéon diatonique (qui ensuite a fait partie du groupe Vermenton Plage)
Patricia Kaczmareck, vielle à roue
Edith Monsu, épinette
Patrick Plouchart, violon, cornemuse
Fête du château d'Esquelbecq 11 juillet 1979
Haeghedoorn
Marieke en Bart
Sprinkhanders
Bailleul ?
Yves Havet †
et Klauwaerts :
Jean-Jacques Révillion †, violon
Gérald Ryckeboer, guitare
En région lilloise puis à la Maison de Danse de la Maison de Quartier de Fives
Mabidon
et les danseurs : Marie Aude Pradeau †, Michèle Coupez, Monique Piolat, Frédérique Wascheul, Odile Hoestlandt, Christian Gheeraert †, Isabelle Alexis, Francine Hochedé, Joël Parasote,… etc. (merci de me signaler ceux dont j'ai oublié le nom).
musique par le groupe Vents Contraires, dernière formule
à Gondecourt en mars 2000
Christian Declerck, violon, alto
Patrice Gilbert, vielle à roue
Gérald Ryckeboer, cornemuse, guitare et cistre
Elise Wuillemin, harpe celtique
le bal complet est ici
quelques photos supplémentaires, photographe inconnu
sans doute à Bergues ?
C'était il y a 40 ans, ou presque, le mouvement n'avait pas dix ans et les groupes folk proliféraient dans la région. Un annuaire 59/62 de janvier 1981 en recense une quarantaine. Dans ce montage on voit les groupes : Drie Vlaemsche Geuzen, De Kreupelaer, Yves Havet et Klauwaerts, Haeghdoorn, La Bistouille, Brinqueballe, Mabidon et les danseuses et danseurs qui les suivaient avec assiduité. La musique est jouée par le groupe Vents Contraires lors d'un de ses derniers bals en 2000.
à la Ferme Nord de Zuydcoote
Drie Vlaemsche Geuzen :
Bertrand Buirette, violon
Didier Buirette, cornemuse, flûte
Guy Vandeneeckhoutte, accordéon diatonique
Etienne Dubron, violon
Animation et bal folk à Bergues
La Bistouille (2 musiciens de De Kreupelaer et les musiciens de Drie Vlaemsche)
et Katepouch
La fête du château d'Esnes le 1er mai 1976
Brinqueballe (deviendra Estaminet Folk) :
Bernard, dit Ben Kaczmareck, accordéon diatonique (qui ensuite a fait partie du groupe Vermenton Plage)
Patricia Kaczmareck, vielle à roue
Edith Monsu, épinette
Patrick Plouchart, violon, cornemuse
Haeghedoorn
Marieke en Bart
Sprinkhanders
Bailleul ?
Yves Havet †
et Klauwaerts :
Jean-Jacques Révillion †, violon
Gérald Ryckeboer, guitare
En région lilloise puis à la Maison de Danse de la Maison de Quartier de Fives
Mabidon
et les danseurs : Marie Aude Pradeau †, Michèle Coupez, Monique Piolat, Frédérique Wascheul, Odile Hoestlandt, Christian Gheeraert †, Isabelle Alexis, Francine Hochedé, Joël Parasote,… etc. (merci de me signaler ceux dont j'ai oublié le nom).
musique par le groupe Vents Contraires, dernière formule
à Gondecourt en mars 2000
Christian Declerck, violon, alto
Patrice Gilbert, vielle à roue
Gérald Ryckeboer, cornemuse, guitare et cistre
Elise Wuillemin, harpe celtique
le bal complet est ici
quelques photos supplémentaires, photographe inconnu
sans doute à Bergues ?
de G à D : Michel, Marc, Guy, Christian, Etienne et Bertrand |
Christian D. et ? Duyck |
Christian D. et Fabienne Kotlarczik |
Compléments :
"C’est
à partir de 1977 que la Communauté Urbaine de Dunkerque, devenue locataire des
lieux, y a financé un vaste programme d’investissements et d’animations destiné
à faire de la Ferme Nord de Zuydcoote un équipement
de loisirs ouvert à tous, au cœur des dunes qui commençaient alors à être
protégées. De
1977 à fin 1985, date de la fermeture liée à des problèmes d’équilibre financier
de l’association de gestion, la Ferme Nord a accueilli des milliers de
personnes pour des spectacles, des classes de découverte,
des activités de loisirs, des chantiers internationaux de volontaires ou des
séjours à vocation sociale.
Pendant
toutes ces années, elle aura constitué un espace de liberté et de créativité,
qui n’a pas trouvé depuis son équivalent dans toute l’agglomération.
A l'origine créée et gérée par José Jacquemart, puis c'est Pascale Debrock (de 1980 à 1983) et Anne Pascale Jacquemart qui ont été
responsables de la programmation culturelle"
La Maison de Danse
C’est
Mabidon qui est à l’origine du projet, au retour d’un stage auquel nous avions
participé durant l’été 1976 (ou 77 ?), en Belgique, organisé par Claude
Flagel. Christophe Declercq, un des
violoneux de Mabidon avait participé à
une « tournée » en Hongrie avec des musiciens et danseurs Wallons, autour des
Flagel, pour représenter la Wallonie dans des festivals de musique
traditionnelle. Il y avait entendu parler des « maisons de danse », lieux
de pratique de musique et danses traditionnelles hongroises. On s’est dit « on
va faire ça chez nous ». On était un petit nombre à s’intéresser à la musique
traditionnelle, on connaissait des musiciens dans le Pas de Calais (le groupe Marie Grauette,
Bernard Boulanger), à Dunkerque (Christian Declerck et sa bande), à Bailleul
(Haeghedoorn), etc., mais les occasions de se rencontrer étaient rares et chacun
jouait dans son coin. Passionnés par la musique et la danse traditionnelles,
nous voulions qu’elles s’intégrent davantage dans notre quotidien.
L’idée
était de favoriser les échanges, de diffuser les collectes ou découvertes des
uns et des autres, et aussi de vivifier et de transmettre, notamment dans le
domaine de la danse. Le phénomène bal folk en était à ses balbutiements et nous sentions bien que
l’apprentissage des pas était une nécessité, y compris pour les musiciens.
Fin 1978 débutait la
première édition de la maison de danse à la maison de quartier de Fives à Lille
(59). Le matin, ateliers instruments et danse, le midi, repas pris en commun sur le modèle de
l’auberge espagnole, et l’après midi, bal avec les musiciens présents. On était
plutôt dans l’autogestion : pas de formateurs attitrés, pas de programmation de
groupe, le principe était le libre échange, et la libre participation. Très
vite, la plupart des musiciens et groupes locaux se sont appropriés la
démarche, et la maison de danse est devenue une affaire collective dans
laquelle se sont impliqués de nombreux bénévoles (car dans cette histoire, nous
l’étions tous). Dans ce cadre ont également été organisés des stages, des concerts, et le fameux concours
d’airs à danser nouveaux qui avait lieu à l’occasion des fêtes de fin d’année.
Le critère absolu était l’adéquation à la danse et le jury dansait d’ailleurs
durant le concours. Tout le monde avait un prix (chacun ramenait les horreurs
dont il voulait se débarrasser) et le premier prix était un short vert remis en
jeu chaque année.
L’aventure a duré dix ans,
et on peut dire que la maison de danse a été un élément fortement structurant
du mouvement autour des musiques et danses traditionnelles dans le Nord de la
France.
Jean-Jacques Révillion†
Génial ! Que de souvenirs !
RépondreSupprimerMerci !
Commentaires reçus :
RépondreSupprimer"Je te remercie, comme je suis heureuse de revoir tous ces bons moments !" (Monique)
"Alors là, c'est une belle initiative !! Merci beaucoup Christian pour nous offrir ce paysage qui a fondé bien des choses !" (Michel)
reçu :
RépondreSupprimer"Un grand merci pour cette page de folk. Cela fait bizarre de se revoir après tant d'années, j'avais oublié ces moments, cela fait vraiment plaisir !!!" (Isabelle)